Un chien qui s’ignore 16

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Un chien qui s’ignore 16Il faisait jour quand on me déposa dans le fourgon de Nolwenn, à moitié groggy. Elle roula longtemps et malgré le roulis je me rendormi.C’est l’arrêt du moteur qui me réveilla.Elle ouvrit la porte arrière et le soleil pénétra dans l’habitacle. J’étais avachi au sol, la peau collante et le visage couvert de résidus séchés, comme devaient l’être mon cul et mon sexe après ma journée d’hier.Elle, montait dans le fourgon, provocante comme jamais, mains sur les hanches, une paire de bottes recouvrait son jean moulant, une ceinture large affinait sa taille fine, un teeshirt blanc tout aussi moulant soulignait sa fière poitrine.Elle était parfumée et maquillée.Son silence et son regard amusé et hautain me révélèrent sa toute puissance et sa victoire.Instinctivement, je me levais sur mes pattes et rampais mollement jusqu’à ses bottes et me mettais à les lécher.Je savais que c’était la première fois que je lui rendais cet hommage de moi-même. Quelque chose en moi était rompu.La Nolwenn d’avant n’existait plus pour moi. Cette nouvelle Nolwenn avait façonné mes perceptions, m’avait brimé et détruit. Ce que j’étais devenu était son œuvre, sa volonté. Elle pouvait faire de moi ce qu’elle voulait. Je la craignais plus que tout. Je craignais aussi ma femme ou Mme Laurence. Ma femme voulait sa vengeance et me faire payer ‘ses années perdues ‘, Mme Laurence agissait pour me voir devenir un sous hêtre.Nolwenn, elle, prenait plaisir à façonner le chien, la pute à bite que j’étais devenu. Je n’en doutais plus maintenant, elle m’avait tendu un piège et comme une mouche stupide bursa escort dans la toile collante, je m’étais cru plus fort qu’elle. Elle m’avait enveloppé dans sa soie et je n’avais plus qu’à obéir si je voulais continuer à vivre. Elle n’avait aucune limite.Je léchais maintenant la tige de ses bottes en cuir. Son silence et son observation de ma docilité était clair. Clair comme un tampon frappé sur un document officiel : ce chien a dés cet instant accepté son statut.‘Bon chien, ça ! Lèches l’autre botte maintenant !’Peu importaient mes douleurs, ma fatigue ou mes courbatures, maitresse Nolwenn appréciait mes coups de langue et me permettait de continuer ! J’y mis tout mon cœur ! Sa botte devait reluire !Elle s’accroupit près de moi, je continuais mon travail sur la tige délicieusement plissée de ses bottes. Elle me passa ma laisse. Elle prit mes pattes avant l’une après l’autre et me passa une sorte de moufle rigide en cuir, fermée par une lanière sur le poignet. Mes poings étaient fermés, mes poignets rigidifiés. Je dus malheureusement arrêter ma tâche pour qu’elle équipe également mes pauvres genoux meurtris d’une semelle rigide fermée par derrière. Je parvins à descendre tête la première du fourgon et me retrouvais à suivre maitresse Nolwenn en trottant derrière elle. Mes pattes ainsi équipées étaient pourvues de petits ergots métalliques qui claquaient sur le béton, comme les griffes d’un bon chien. Je suivais docilement, faisant de mon mieux, pour ne pas décevoir maitresse dont je suivais les bottes brillantes.Cette séance de léchage m’avait excité et je ne rêvais que de pouvoir bursa escort bayan à nouveau m’approcher de ces bottes, montrer ma dévotion. Mon gland était gonflé, douloureusement écrasé par son grillage, mes couilles gonflées de désir me tapaient les cuisses en cadence. Mes pattes avant et mes genoux munis de leurs petits ergots raclaient le sol comme une réplique ridicule aux claquements de ces talons majestueux qui résonnaient à travers l’espace. Nous étions entrés dans un entrepôt apparemment abandonné. Des détritus de dépôts sauvages jonchaient le sol. Aucune personne, aucun bruit excepté la réverbération des talons de Nolwenn.J’étais éreinté de la veille, ma gorge me brulait, des coulées de sperme dégoulinaient sur mes cuisses. Je me sentais vraiment misérable et ridicule, vulnérable et repoussant.Devant moi, ma magnifique déesse me tirait par ma laisse, ondulant du bassin sans un regard pour moi.J’acceptais docilement mon sort.J’étais inquiet de ce que j’allais devoir subir. Ma mâchoire était encore engourdie. Je n’osais même pas imaginer l’état de mon anus.Finalement, Nolwenn poussa une grosse porte métallique et nous entrâmes dans un atelier crasseux, éclairé au néon. Le sol était noir de limaille de fer et de chutes de ferrailles éparses. J’étais content d’avoir mes pattes protégées. Je levais mes pieds nus pour ne poser à terre que mes genoux protégés. Une odeur de brûlé m’inquiétait. Je tournais la tête en tous sens : personne.C’était un atelier de métallurgie avec ses postes à souder, ses établis, ses presses. Une musique de heavy métal saturait un vieux poste görükle escort de radio hors d’âge poussiéreux. Nolwenn attacha ma laisse à un étau couvert d’huile et alla frapper à la porte vitrée d’un bureau au fond.Un homme tout en muscle revint avec ma maitresse. Il trainait une odeur de brulé et de graisse avec lui. Il portait une épaisse salopette de travail noirâtre. Une chemise déchirée retroussée sur des avants bras noueux et tatoués laissait apparaitre un poitrail robuste tatoué également. Ses cheveux raides et gras étaient noués en couette, des piercings recouvraient ses oreilles.Il me regardait amusé et dégouté à la fois. Il se tourna vers Nolwenn qui paraissait si menue et si rayonnante devant cette brute.‘Ah ouais d’accord, je comprends ta demande spéciale en voyant la tronche de ton’ chien’ .C’est quoi ce dégénéré ? C’est quoi son trip ?-Oh son trip c’était de sauter toutes les nanas qui passaient. Mais je l’ai dressé et regardes le résultat ! Tu vois je ne t’ai pas menti. -Putain ma salope, tu l’as bien dressé !-Ah ça oui ! Maintenant c’est une chienne vide couille. Et regarde son cul qui déborde encore de sa séance d’hier.-C’est dingue ce que tu en as fait !-Hum mais tu sais, les hommes j’en fais ce que j’en veux (elle minaudait et frottait l’entrejambe de la brute) : une bête de sexe ou un gentil réceptacle à sperme !-En tout cas je préfère ta belle bouche de salope a ce dégénéré de clébard !-Ne rêve pas mon salaud ! Je suis là pour affaire. Tu as tout préparé ? (elle caressait à pleine main le jean qui enflait et masturbait la forme de la bite)-Tout est prêt pour m’occuper de ton clébardIl commençait à tripoter ses seins et de ses grosses mains écrasait son cul moulé dans son jean. Elle s’écarta vivement et repoussa ses mains.-Alors au boulot, mon tout beau ! Tu auras ta récompense après !

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