Caroline, ma voisine – 3

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Caroline, ma voisine – 3Suite des aventures sensuelles de notre héros… :)Les rayons du soleil passent les persiennes entre-ouvertes et un rai de lumière me réveille… Une cascade de cheveux châtains s’étend sur mon torse et mon épaule. Je m’éveille sur le dos, Markéta est contre moi, la tête sur mon épaule et sa poitrine contre mon flanc… J’essaye de bouger et de me dégager sans réveiller ma belle actrice tchèque.Raté, elle murmure quelque chose en tchèque, avant de se retourner. Je remonte le drap sur son corps, puis je commence à lui donner quelques baisers dans le cou. Entre deux sessions de baisers, quelques caresses d’abord au dessus du drap, puis en dessous. Le corps de Markéta est un appel à l’amour physique, ses rondeurs sont parfaites et la belle réagit à mes caresses. Elle m’arrête.- Bonjour…. Il est quelle heure ?- Bonjour…. Il va bientôt être 10 heures et demie. On a le temps de…- 10h30 !!!! Mais je suis en retard !- Mais… Tu ne commences pas à midi les répets à l’opéra ?- Oui, on joue à partir de 12h00, mais Pavel exige que l’on soit tous là à 11h… Une connerie de relaxation en groupe avant les répétitions… Oh la la !!!… Je vais être en retard !- Tu as le temps de prendre une douche, l’opéra n’est pas très loin à pied, tu y seras ! Je te prépare un café ?- Tu es un amour ! Je file sous la douche !Markéta se lève d’un bond et fonce dans la salle de bain. Je me lève aussi, enfile un Levis et passe un T-shirt. L’eau de la douche coule, et du coté de la cuisine une tasse de café se rempli doucement sous le percolateur.- Arthur ! Je n’ai pas de serviette pour me sécher !!!J’att**** une serviette propre dans le placard et la tend à Markéta. Elle att**** la serviette et ma main, et m’entraîne dans l’ambiance saturée d’humidité… Elle est encore toute mouillée et elle m’attire à elle, tout contre elle. Je peux encore une fois admirer son corps, une belle croupe rebondie, ses jolis seins aux tétons dressés, son petit abricot surmonté d’une fine toison pubienne. On s’embrasse, et elle me tend la serviette. Je la frictionne, tout en bécotant sa nuque et ses oreilles, et surtout en insistant sur sa poitrine, que je commence à caresser au travers de la serviette…- Nonnn… Je vais être en retard !- Bon… ton café t’attend sur le comptoir de la cuisine…- Merci darling !!Je rentre dans la douche, pendant que Markéta s’habille… La douche fini de me réveiller, et je commence à me rendre compte que moi aussi je commence à être en retard ! Marketa passe à la cuisine et je l’entend reposer la tasse de café dans l’évier. Elle repasse par la salle de bain.- Arthur, j’ai passé une nuit merveilleuse… Je dois filer ! Je vais être en retard à la répet !- Mais Markéta…La porte claque, elle est partie…Quelques heures plus tard, je suis au théâtre, pour des répétitions et de derniers réglages techniques sur le spectacle du soir. Mon mobile vibre, c’est un SMS venant d’un numéro à l’indicatif international +420. On se retrouve ce soir au bar près de l’opéra ? Kisses MarkétaLa petite semaine qui a suivi fut très sensuelle en compagnie de ma sublime comédienne tchéque… On a fait l’amour dans toutes les pièces de l’appart’ et dans toutes les positions ! Une bonne façon de le baptiser, quelques semaines après mon emménagement… Markéta est repartie en tournée avec sa troupe, et elle m’a laissé de très bons souvenirs sensuels et sexuels ! On est toujours en contact…Quelques semaines plus tard, la routine de la vie du théâtre à repris son cours. La vie dans mon immeuble reste égale à elle même, et je n’ai pas eu l’occasion de rentrer dans l’après-midi et d’écouter malgré moi une partie de jambes en l’air ou une dispute chez ma voisine.Un soir ou nous donnions Roberto Zucco de Koltès, je vois débarquer Caroline au théâtre. Ce soir là, je donne un coup de main au contrôle des billets (c’est une petite salle, il faut être polyvalent). Son billet en main, elle se dirige directement vers moi, mettant un vent à la jeune fille qui effectue l’accueil des spectateurs. Sur son impulsion, on se fait la bise, et j’en suis agréablement surpris.- Bonsoir Arthur ! Vous travaillez ici ?- Et oui ! Je suis l’un des techniciens de la maison… Heureux de vous retrouver ici !- J’avais envie de découvrir la pièce et j’avais retenu le nom de la salle sur l’un des flyer punaisés dans votre appartement… C’est le hasard !- Et bien le hasard fait bien les choses ! Bon spectacle !!- Merci !Son billet déchiré, elle me lance un de ses beaux sourires, et rejoint sa place en salle. A l’air amusé de ma collègue bahis firmaları du contrôle des billets, je me dit que cette rencontre n’est peut-être pas si anodine que ça…Encore quelques billets déchirés et je remonte en régie pour assurer la lumière de la pièce du soir. Tout se passe au mieux pendant la représentation, et la mise en scène est une réussite. Le public réserve deux rappels aux comédiens. Une fois le public sorti de la salle, je fonce au plateau pour remettre en place un rideau et préparer la journée de travail du lendemain.De retour dans le foyer du théâtre, j’aperçois Caroline au comptoir en grande discussion avec ma collègue de la billetterie, qui assure aussi le service du bar à l’issue des représentations. Je remonte en régie, pour récupérer mes affaires et rentrer à la maison.Repassant devant le bar, je croise à nouveau Caroline. Elle est l’une des dernières dans le foyer.- Arthur ! Vous prenez un verre ?- Oui, pourquoi pas… J’allais fermer la salle… Chloé, tu peux me mettre une bière avant de t’en aller s’il te plaît ?- J’ai beaucoup aimé la pièce ! J’en parlait avec Chloé, et nous parlions de vous aussi…- Ah oui, vous parliez de moi ? J’espère que Chloé n’en a pas dit trop !- Rassurez-vous, j’en sais un peu plus sur vous, mais je n’ai rien appris de compromettant !!!Sur cette dernière phrase, Caroline décoche l’un de ses sourires qui vous désarçonne, et me regarde droit dans les yeux, avec un regard très décidé. Nous bavardons encore quelques minutes, le temps pour moi de boire ma bière. Elle m’annonce qu’elle va rentrer, nous nous faisons la bise et je commence à faire le tour de la salle pour la fermeture. Les comédiens sont déjà partis à leur hotel, nous sommes les seuls dans le théâtre.Au moment ou je ferme les portes d’entrée à clef, le taxi de Caroline arrive.- Vous partagez mon taxi ?- Non, merci ! Je suis en vélo. Bonne soirée !!- Belle nuit à vous !Et c’est ainsi que se terminait le premier vrai échange avec ma voisine, un échange fruit du hasard…Quelques jours plus tard, alors que je suis à la maison, en repos entre deux productions au théâtre, je suis réveillé par une violente dispute dans l’appartement du dessous. Les noms d’oiseaux volent et la vaisselle aussi… Je suis sorti la veille au soir et je suis rentré au petit matin, seul, mais plutôt bien éméché. La finesse du plancher ne contre pas vraiment l’engueulade des amoureux du second, et le bruit commence à me donner une sérieuse migraine. Une porte claque, et la cavalcade qui suit dans les escaliers m’indique qu’il s’agit du petit copain un peu rustre de ma voisine. Un moment de calme plus tard, Caroline quitte elle aussi son appartement.En fin de journée, des miaulements attire l’attention de la petite mamie de l’immeuble d’à coté. La voisine à visiblement laissé son chat sur le balcon en partant. Le matou a faim et il le fait savoir à toute la rue. La petite mamie d’à coté est amie avec la propriétaire de l’immeuble, qui vit au rez-de-chaussée, et qui n’a pas beaucoup plus jeune qu’elle…C’est ainsi que je les retrouve devant ma porte d’entrée, moi dans le gaz, et elles en train de m’expliquer qu’il faut tout faire pour sauver cette pauvre bête ! Au moment ou l’une d’elle dit qu’il faut appeler les pompiers, je ne percute pas tout de suite… Mais une heure plus tard, deux soldats du feu sont sur mon balcon, avec cordes et baudrier pour descendre en rappel sur le balcon de la ma voisine, un étage plus bas… Je commence à regretter les mojitos de la nuit dernière, tant mon mal de crane me vrille le cerveau.Le chat est sauvé, et il est confié à la proprio… Le surlendemain, Caroline sonne à ma porte. Elle n’a pas vraiment bonne mine, semble fatiguée, elle a les yeux gonflés. – Bonjour Arthur, je venais pour le chat…- Oui Caroline, vous l’avez récupéré chez la proprio au rez-de-chaussée ?- Oui, mais on ne peut pas dire que l’accueil fut super chaleureux de la part de cette vielle bique… Elle m’a raconté l’intervention des pompiers. Je suis vraiment désolé pour ça…La dessus, elle commence à fondre en sanglots devant ma porte. Je ne sais pas quoi faire et je l’invite à entrer. On s’assoit dans la cuisine sur les tabourets du bar. Je lui propose un café, qu’elle accepte tout en séchant ses larmes.- Je suis vraiment désolé de me donner en spectacle comme ça… Vous avez du tout entendre il y a quelques jours… La dispute entre moi et mon copain ?(si elle savait… je n’ai pas entendu que la dispute…)- Je vous avoue que j’étais en train de cuver mon vin… J’ai vaguement compris que ça kaçak iddaa chauffait un peu chez vous, mais…- C’est vraiment un beau salaud ! Il m’a faite cocue avec ma meilleure amie ! Mais pourquoi j’attire tout le temps ce genre de mec…Ses lamentations et les récriminations contre son ex se sont enchaînés, j’y portais une oreille attentive, même si je ne connaissais pas très bien l’homme qu’elle me décrivait et qui avait partagé quelques années de sa vie… J’avais de la sympathie pour Caroline, et je crois avoir tenté de la rassurer et de lui redonner un peu d’énergie positive, en plus du café et des petits gâteaux…Nous nous sommes quittés en début de soirée.- Merci de m’avoir écoutée, comme je ne connais pas grand monde qui n’ai pas de relation avec mon ex, c’était plus facile avec toi… Ouppss, pardon, je viens de vous tutoyer !- On peut se tutoyer Caroline, sans problème… Là dessus, elle dépose une bise sur ma joue, et redescend vers son appart’. Une jolie amitié entre ma voisine et moi vient de naître…Caroline et moi entretenons par la suite une bonne relation de voisinage… Et un soir, à l’issue d’une représentation au théâtre, ma voisine débarque dans le foyer du théâtre. Je suis en train de fermer.- Salut Arthur ! Alors, on ferme ?- Oui, ça s’est terminé tôt ce soir, et le public était plutôt familial… La bar tourne moins bien ces soirs là !- Je passais un peu par hasard… Et je pensais pouvoir prendre un verre avec toi au bar du théâtre.- Et bien je ferme ces deux portes, mais on peut aller boire un pot juste à coté ?- Ouais ! OK !Caroline est très jolie ce soir… Beaucoup plus classe que moi, qui porte un sweat à capuche, un t-shirt, et un pantalon multi-poche… Elle a rassemblé ses cheveux noirs en un chignon, très peu de maquillage, mais elle a agrandi ses yeux avec un peu eye-liner. Elle porte un joli petit top rouge satiné, au dessus d’une jupe noire qui épouse parfaitement ses hanches et ses fesses… Sa silhouette est magnifiée par des escarpins à talons, et ses jambes sont gainées de nylon. Je me dit que j’ai de la chance d’aller boire quelques verres avec cette très jolie jeune femme !On fait la tournée de quelques bars, et au fur et à mesure de la soirée, Caroline se rapproche de moi. Elle commence à me toucher la main et l’avant-bras. Je fais de même, et dans le dernier bar, on commence à danser sur un peu de musique cubaine et antillaise. On passe vraiment un bon moment, et c’est pas seulement dû à notre ivresse ! La dernière danse est très collé-serré, et on se touche franchement. Caro est scotchée sur mon dos et ma poitrine, et je ne me gène pas pour caresser le bas du dos de ma partenaire… et également ses fesses !On sort du bar, plutôt gais, mais encore capables de marcher. Les dernières danses et l’air rafraichi à l’extérieur nous désaoulent quelque peu. On marche vers notre immeuble, Caroline me tient la main, on continue à discuter de tout et de rien. On grimpe les deux étages pour arriver sur le palier de Caroline, on se marre, la vie est belle…- Caro… Merci pour cette soirée ! C’était…- Chuuttt…Là-dessus, elle m’embrasse. Je plaque Caroline contre la porte de son appartement, en commençant à carresser ses flancs, ses hanches et ses seins. On continue à mélanger nos langues, les caresses sont de plus en plus appuyées pour elle et moi…- J’ai envie que tu me prennes là sur le palier…- On va peut-être le faire à l’intérieur, non ? J’ai aussi super envie de toi Caro !- Viens…Elle ouvre la porte de son appart et on se dirige directement vers sa chambre. Elle me guide en me tenant la main, et je ne peux qu’admirer la façon dont elle tortille ses fesses. Elle me pousse sur le lit, je tombe sur le dos. Elle commence à m’offrir un petit strip tease, j’ai l’impression de vivre un rêve éveillé…Le top et la jupe s’envolent très vite, relevant un joli ensemble de dentelle noire et des DimUp. Caro porte toujours ses talons, et dans un geste très sensuel, elle retire son soutien-gorge. Sa petite poitrine est sublime, et je suis comme hypnotisé. Elle se jete sur moi, on s’embrasse langoureusement et je la retourne sur le dos avec autorité. Elle pousse un petit cri avant d’éclater dans un rire de gorge terriblement sexy. Je retire mon sweat, mon pantalon et mon t-shirt, en mimant le même petit strip, mais avec moins de sensualité…Au bord du lit, j’att**** les mollets de Caro encore gainés de ses DimUp et j’écarte doucement ses jambes. Je dépose de doux baisers sur le nylon, jusqu’à arriver au pubis de ma belle, encore recouvert de la dentelle de kaçak bahis son string. Quelques baisers encore et j’att**** les deux liens de chaque coté du string et je le fait doucement glisser le long de ses jambes. Contrairement à mes dernières conquêtes, Caro est entièrement épilée. Son minou glabre m’offre un parfait terrain de jeu pour les cunnilingus, un truc que j’adore. J’écarte alors largement le compas des jambes de Caroline et je commence à lécher l’entrée de son sexe, les grandes lèvres et surtout son clitoris qui commence à pointer. Décalottant le clito, je le suçote, l’aspire et Caroline commence à devenir très vocale. Elle att**** l’une de ses jambes et la maintient écartée. Ce geste m’invite à lui caresser un sein pendant le cunni, ce dont je ne me prive pas, déclenchant un premier orgasme chez ma partenaire. Elle referme ses cuisses autour de ma tête, mais je continue, j’ai envie de la faire crier…- Oh ouiii…. Je viens !! C’est trop bonnnnn !!!!Sa chatte est trempée, elle repousse ma tête avec une certaine force, elle n’en peut plus. Je lève mes yeux, on se regarde, on rigole… Elle a pris son pied.- Humm… Tu m’as fait décoller…. Je vais m’occuper de ta queue !C’est à mon tour de me détendre et de me laisser faire. En quelques secondes, Caroline m’a oté mon boxer, libérant mon sexe à moitié bandé, et elle commence à me sucer. Je dois dire qu’elle m’offre une très belle pipe ! Engouffrant ma queue au maximum, elle remonte ses lèvres le long de ma hampe et termine par de petits coups de langue sur le bout… C’est divin, et ça l’est encore plus quand ma jolie voisine laisse filer sa langue jusqu’à venir lécher la base de mes couilles, tout en me branlant sensuellement… Comme avec Marketa, j’ai trop envie de baiser. Caroline se redresse, att**** une capote et déroule le capuchon de latex sur mon vit, en donnant un dernier coup de langue sur le prépuce. Je la bascule sur le dos, att**** encore une fois ses jambes pour bien les écarter. Elle comprend la manœuvre et guide mon sexe avec sa main juste à l’entrée de sa délicieuse petite chatte. Mon gland passe ses grandes lèvres, et je pousse pour la pénétrer lentement…- Hummm ! Ouiii ! Comme ça, prends-moi chéri !Caro est trempée, je commence à donner de bons coups de reins pour chauffer ma partenaire, tandis qu’elle se caresse le clitoris. Cette fille est décidément incroyable ! Je remonte ses jambes sur mon torse, le contact et la caresse du nylon m’électrise. J’accèlere la cadence de ma pénétration et les soupirs de Caroline se transforment maintenant en gémissements très appuyés et surtout très sonores. Elle continue de se masturber et les cuisses jointes rendent sa chatte plus serrée qu’au début , je commence à ressentir les petites contractions de son vagin, annonciatrices d’une première jouissance.- Ah oui ! C’est bon ! Ohhhh ! Putain ! Tu vas me faire décoler !!!! Ouiii !!!! Ouiiiiiiiiiii !!!!!!- Je sens ta chatte autour de ma queue… C’est bon Caro !!- Ouiii !!! Continue… C’est trop bon !!!!Elle crie son plaisir sans retenue, pendant que je continue à la limer. Tout à coup, elle me freine, me repousse pour que je me retire, et en un clin d’œil se redresse au dessus de moi. Elle est magnifique, vêtue seulement de ces bas noir. Elle me fait assoir sur le lit, la verge dressée, et s’empale directement en enserrant ses jambes autour de mes reins. La pénétration est incroyable et pleine de sensations pour moi comme pour elle. Elle bouge son corps, on baise à son rythme, elle a le contrôle de la situation. Sa petite poitrine frotte sur mon torse, agaçant ses tétons. On prend un maximum de plaisir tout les deux, l’étreinte est de plus en plus sensuelle, je sens son souffle s’accélérer près de mon oreille alors que je lui caresse le dos et que Caroline continue de frotter son bouton d’amour dur mon pubis…- J’ai envie de changer… Prends-moi par derrière…On change a nouveau de position, et je m’exécute, en me positionnant derrière les fesses de Caroline. Elle est à quatre pattes sur le lit, je caresse ses seins avant qu’elle ne plaque sa poitrine sur les draps, lançant son cul en l’air… Une véritable invitation ! Je reprend possession du sexe de ma partenaire en lui tenant fermement les hanches, et je me lance dans un pistonnage en règle de la chatte de ma voisine. Les sensations sont décuplées, et je sens que Caro va avoir son orgasme très vite. J’accélère encore la cadence, encouragé déclenchant la jouissance de ma belle.- Oh ouiiiiiii ! Je viens !!!!!!! C’est trop bon !!!- Hann !!! Je viens moi aussi Caro !!On jouit tout les deux en même temps, et l’on s’écroule sur le lit, encore emboîtés et on se câline dans la position de la petite cuillère, l’un derrière l’autre. C’était une belle première, et quelle première !!!(A suivre…)

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